C'est le péché qui parle |
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au coeur de l'impie ; |
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ses yeux ne voient pas |
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que Dieu
est terrible. |
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Il se voit d'un oeil trop flatteur |
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pour trouver et haïr sa faute ; |
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il n'a que ruse et fraude à la
bouche, |
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il a perdu le sens du bien. |
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Il prépare en secret ses mauvais
coups. |
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La route qu'il suit n'est pas
celle du bien ; |
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il ne renonce pas au mal. |
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Dans les cieux,
Seigneur,
ton
amour ; |
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jusqu'aux nues, ta vérité ! |
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Ta justice, une haute montagne ; |
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tes jugements, le grand abîme ! |
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Tu
sauves, Seigneur,
l'homme et les bêtes : |
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qu'il est précieux ton amour, ô
mon Dieu
! |
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A l'ombre de tes ailes, tu abrites
les hommes : |
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ils savourent les festins de ta
maison ; |
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aux torrents du paradis,
tu les
abreuves. |
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En toi est la source de vie ; |
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par ta lumière nous voyons la
lumière. |
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Garde ton amour à ceux qui t'ont
connu, |
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ta justice à tous les hommes
droits. |
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Que l'orgueilleux n'entre pas chez
moi, |
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que l'impie ne me jette pas dehors
! |
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Voyez : ils sont tombés, les
malfaisants ; |
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abattus, ils ne pourront se
relever. |
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