| Heureux qui pense au pauvre et au faible : |
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| le
Seigneur le sauve au jour du
malheur ! |
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| Il le protège et le garde en vie, heureux sur la
terre. |
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Seigneur, ne le livre pas à
la merci de l'ennemi ! |
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| Le
Seigneur le soutient sur
son lit de souffrance |
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| si malade qu'il soit, tu le relèves. |
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| J'avais dit : "Pitié pour moi,
Seigneur, |
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| guéris-moi, car j'ai péché contre toi ! " |
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| Mes ennemis me condamnent déjà : |
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| "Quand sera-t-il mort ? son nom, effacé ?" |
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| Si quelqu'un vient me voir, ses propos sont vides ; |
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| il emplit son coeur de pensées méchantes, |
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| il sort, et dans la rue il parle. |
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| Unis contre moi, mes ennemis murmurent, |
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| à son sujet, ils présagent le pire ; |
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| "C'est un mal pernicieux qui le ronge ; |
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| le voilà couché, il ne pourra plus se lever." |
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| Même l'ami, qui avait ma confiance |
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| et partageait mon pain, m'a frappé du talon. |
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