Dieu, tu es
mon Dieu, |
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je te cherche dès l'aube : |
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mon âme a soif de
toi ; |
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après
toi
languit ma chair, |
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terre aride, altérée, sans eau. |
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Je t'ai
contemplé au sanctuaire, |
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j'ai vu ta
force
et ta
gloire. |
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Ton
amour vaut mieux que la vie : |
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tu seras la louange de mes lèvres ! |
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Toute ma vie je vais te bénir, |
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lever les mains en invoquant
ton nom. |
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Comme par un festin je serai rassasié ; |
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la joie sur les lèvres, je dirai
ta louange. |
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Dans la nuit, je me souviens de
toi |
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et je reste des heures à
te
parler. |
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Oui,
tu es
venu à mon secours : |
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je crie de joie à l'ombre de tes ailes. |
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Mon âme s'attache
à toi, |
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ta main droite
me soutient. |