Il est beau de
te louer, |
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Dieu, dans
Sion, |
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de tenir ses promesses envers toi |
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qui écoutes la prière. |
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Jusqu'à toi vient toute chair |
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avec son poids de péché ; |
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nos fautes ont dominé sur nous : |
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toi, tu les pardonnes. |
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Heureux ton invité, ton élu : |
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il habite ta demeure ! |
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Les biens de ta maison nous rassasient, |
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les dons sacrés de ton temple ! |
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Ta justice nous répond par des prodiges, |
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Dieu notre sauveur, |
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espoir des horizons de la terre |
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et des rives lointaines. |
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Sa force enracine les montagnes, |
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il s'entoure de
puissance ; |
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il apaise le vacarme des mers, |
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le vacarme de leurs flots |
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et la rumeur des peuples. |
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Les habitants des bouts du monde sont pris d'effroi |
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à la vue de tes signes ; |
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aux portes du levant et du couchant |
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tu fais jaillir des cris de
joie. |
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Tu visites la terre et tu l'abreuves, |
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tu la combles de richesses ; |
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les ruisseaux de
Dieu
regorgent d'eau : |
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tu prépares les moissons. |
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Ainsi, tu prépares la terre, |
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tu arroses les sillons ; |
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tu aplanis le sol, tu le détrempes sous les pluies, |
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tu bénis les semailles. |
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Tu couronnes une année de bienfaits ; |
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sur ton passage, ruisselle l'abondance. |
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Au désert, les pâturages ruissellent, |
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les collines débordent d'allégresse. |
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Les herbages se parent de troupeaux |
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et les plaines se couvrent de blé. |
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Tout exulte et chante ! |
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