Jusqu'aux cieux, ta splendeur est chantée |
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par la bouche des enfants, des
tout-petits : |
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rempart que tu opposes à l'adversaire, |
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où l'ennemi se brise en sa révolte. |
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A voir ton ciel, ouvrage de tes doigts, |
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la lune et les étoiles que tu fixas, |
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qu'est-ce que l'homme pour que tu
penses à lui, |
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le fils d'un homme, que tu en prennes
souci ? |
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Tu l'as voulu un peu moindre qu'un dieu, |
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le couronnant de gloire et d'honneur ; |
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tu l'établis sur les oeuvres de tes
mains, |
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tu mets toute chose à ses pieds : |
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les
troupeaux de boeufs et de brebis, |
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et même les bêtes sauvages, |
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les oiseaux du ciel et les poissons de
la mer, |
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tout ce qui va son chemin dans les
eaux. |
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