Qu'il est bon de rendre grâce au
Seigneur, |
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de chanter pour ton nom,
Dieu
Très-haut, |
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d'annoncer dès le matin ton amour, |
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ta fidélité, au
long des nuits, |
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sur la lyre à dix cordes et sur la harpe, |
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sur un murmure de cithare. |
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Tes oeuvres me comblent de joie ; |
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devant l'ouvrage de tes mains, je m'écrie : |
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"Que tes oeuvres sont grandes,
Seigneur ! |
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Combien sont profondes tes pensées !" |
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L'homme borné ne le sait pas, |
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l'insensé ne peut le comprendre : |
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les impies croissent comme l'herbe, |
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ils fleurissent, ceux qui font le mal, |
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mais pour disparaître à tout jamais. |
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Toi, qui habites là-haut, |
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tu es pour toujours le
Seigneur. |
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Vois tes ennemis,
Seigneur, |
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vois tes ennemis qui périssent, |
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et la déroute de ceux qui font le mal. |
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